Archive pour avril 2007

The Back Horn – Mirai (Jellyfish)

Samedi 28 avril 2007

The Back Horn - Mirai (Jellyfish) dans ZOB (Ze Old Blog) bande
Voici le clip de Mirai, une chanson du groupe rock japonais The Back Horn, groupe formé à Tôkyô en 1998. C’est aussi la chanson du film Jellyfish de Kiyoshi Kurosawa, KIYOSHI Kurosawa, et non Akira Kurosawa… emoticone (voir l’article qui lui est associé dans la catégorie cinéma). Le clip reprend d’ailleurs les images du film.

A beau film, belle chanson ! J’aime particulièrement comment il crie à la fin de la chanson ! emoticone

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Nakushita uta ga kokoro ni atta
itsuka wa bokura kiete shimau keredo
Konayuki shiroku omoi ga tsumoru
chiisana kakumei datta kimi ga kata ni fureta

Dakishimete koi wo shita
sore ga subete datta
kokkyou sae ima kiesouna
yuki no hana ga saku
Shabon ga tonda kowarete kieta
soredemo shabon wo tobasou sora ni todoku youni

Sen no yoru tobikoete
bokura iki wo shiteru
sekai wa ima hatenaku
azayakana mirai
Sayonara ima wa mata au hi made
koko kara mukou wa nani mo nai masshiro na kuuhaku

Dakishimete koi wo shita
sore ga subete datta
kokkyou sae ima kiesouna
yuki no hana ga saita
Doko made doko made shinjite yukeru
furueru kono te ni omoi ga aru sa
kokoro ni kokoro ni uta ga hibiite
bokura arukidasu
azayakana mirai

tbh_live dans ZOB (Ze Old Blog)

Traduction (partielle) – voir la suite

 

(suite…)

Requiem For a Dream (Clint Mansell)

Samedi 28 avril 2007

Une musique monumentale, celle du film Requiem For a Dream. Avec parfois des airs apocalyptiques. Curieusement, j’aime bien écouter cette musique en temps de Spleen. J’ai l’impression de tout relativiser.

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Requiem For a Dream (Clint Mansell) dans ZOB (Ze Old Blog) Requiem_for_a_dream_poster

The Strokes – What Ever Happened ? / Radiohead – Fake Plastic Trees

Lundi 16 avril 2007

Même pas besoin de mettre les paroles, tout est dans le clip ! emoticone

The Strokes – What Ever Happened ?

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Et sans transition une chanson de RadioheadFake Plastic Trees

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Her Green plastic watering can
For her fake Chinese rubber plant
In the fake plastic earth.
That she bought from a rubber man
In a town full of rubber plans.
to get rid of itself.
And It Wears Her Out, it wears her out
It wears her out, it wears her out.
She lives with a broken man
A cracked polystyrene man
Who just crumbles and burns.
He used to do surgery
For girls in the eighties
But gravity always wins.
And It Wears Him Out, it wears him out
It wears him out, it wears him out.

She looks like the real thing
She tastes like the real thing
My Fake Plastic Love.
But I can’t help the feeling
I could blow through the ceiling
If I just turn and run
And It Wears Me Out, it wears me out
It wears me out, it wears me out.
And if I could BE who you wanted
If I could BE who you wanted,
All the time, all the time, ohhh… ohh…

The Strokes - What Ever Happened ? / Radiohead - Fake Plastic Trees dans ZOB (Ze Old Blog) thomyorke

Third Eye Blind – Blinded

Samedi 14 avril 2007

Third Eye Blind est un groupe de rock originaire de San Francisco et qui s’est créé dans les années 90. L’extrait suivant s’appelle Blinded.

cliquez sur ce lien pour visionner la vidéo

Just an old friend coming over now to visit you and
That’s what I’ve become
I let myself in though I know I’m not supposed to but
I never know when I’m done
And I see you fogging up the mirror
Vapor round your body glistens in the shower
And I want to stay right here and go down on you for an hour
Or stay, and let the day just fade away
In wild dedication, take the moment of hope
And let it run, and never look back at all the damage we have done now
To each other

Cause when I see you, it’s like I’m starring down the sun
And I’m blinded
There’s nothing left to do
Still I see you

I never believed that things they happen for a reason and
They never go as planned
I wanted to thank you for a vision that was lost that you returned but
You’re passed do you understand

Now her appetite is blown, little else is known
Except she a little angry, grabs a towel and looks away
And heat fades with the day
And I fall down on what to say,
Oh something clean let me be clever
Hey oh well whatever
But that’s not what I mean
When where we’ve been has left us burned
Still I won’t turn now from a fight you know I’ll never win

So when I see you, you know all the things I’ve done
Well I’m blinded
Like I’m staring down the sun
When I see you
It’s like I’m staring down the sun

Time passes and it tells us what we’re left with
We become the things we do
Me I’m a fool, spent from defiance, yeah you got me but
I didn’t give up on you

Icarus is not a tee shirt or a swan song, no
He is born again and it’s not easy being me
But I can’t promise I will mend or bend
When you believe that we are fixed now from our birth
And I’ve just fallen back to earth
Still you know I’ll try again
Cause I believe that we are lucky
We are golden we’re stolen manners
In the days when we were one

[Chorus]
So when I see you, despite all that we’ve become
I’m still blinded
But I’m still staring down the sun
When I see you
I’m blinded

Third Eye Blind - Blinded dans ZOB (Ze Old Blog) 151686

Les Contes de Terremer, de Goro Miyazaki

Mardi 10 avril 2007

On ne présente plus Miyazaki, le créateur de Mononoke Hime, du Voyage de Chihiro, ou bien encore du Château Ambulant. Oui mais lisez bien, il ne s’agit pas de Hayao Miyazaki, mais bien de Goro Miyazaki, son fils ! C’est donc au fils Miyazaki qu’il est revenu la tâche de réaliser le dernier des films d’animation des fameux studios Ghibli : Les Contes de Terremer, adaptation du cycle fantastique de Ursula K Le Guin. Un film époustoufflant, magique et onirique. Quand on pense qu’il s’agit là du premier film de Goro Miyazaki, on ne peut que ressentir admiration devant une oeuvre aussi réussie. Certes, il a bénéficié de tout le savoir-faire des studios Ghibli, il ne faudrait pas avoir à l’oublier ! emoticone

Les Contes de Terremer, de Goro Miyazaki dans ZOB (Ze Old Blog) A27916

Tempêtes et chaos règnent sur le monde. L’équilibre est rompu. Seul Epervier (Ged), le plus grand des magiciens, peut en découvrir la cause. Avec le jeune Arren, Prince d’Enlad, il voyage à travers les vastes contrées désolées, jusqu’au jour où ils atteignent la ville de Horteville. Là-bas, les habitants ont tout oublié de la vie et survivent sous l’emprise d’une mystérieuse drogue. Arren apprend chaque jour les vertus de la nature et de l’équilibre, mais l’ombre le guette, aussi bien autour de lui qu’en lui… Epervier ne tarde pas à découvrir que son vieil adversaire, le sorcier Aranéïde, a ouvert la porte entre le monde des vivants et celui des morts. Cette transgression menace l’avenir même de l’univers. Dans le combat qui s’annonce, Epervier et Arren croiseront la route de Tenar, l’ancienne prêteresse des Tombeaux d’Atuan, et de Therru, une jeune orpheline dont le visage a été brûlé. Face au destin, face à la puissance de Aranéïde, tous vont devoir dépasser leurs peurs et unir leurs forces pour mener le plus fascinant des combats.

Trailer – Teru no Uta (la grandeur et la solitude d’un faucon)

à la demande générale, voici les paroles traduites !

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Au-dessus des nuages dans le crépuscule
le faucon toujours seul vole
Il doit sûrement être triste
Tous les bruits cessent sous l’effet du vent
Se tenant bien haut dans le ciel
il ne peut reposer ses ailes
Comment exprimer ce que ressent mon esprit
Il est comme le faucon
Comment exprimer ce que je ressens
ma tristesse volant dans le ciel

La pluie doucement tombe sur la terre
Se cachant toujours là derrière la roche, une secrète floraison
Cette petite fleur, est sûrement amère
Toutes les couleurs se fanent sous la pluie
Qui ne cessera jamais de les apprécier
ses faibles pétales roses ?
Comment exprimer ce que ressent mon esprit
mon coeur, est comme cette fleur
Comment exprimer ce que je ressens
l’amertume qui balance sous la pluie
Sur ce chemin désert
toi qui marche à mes côtés
tu dois sûrement être seul
Les insectes gazouillent dans l’herbe
Mais nous qui marchons ensemble
N’avons pas dit un mot
Comment exprimer ce que ressent mon esprit
Mon esprit qui tout seul marche
Comment exprimer ce que je ressens
Ma solitude qui seule voyage

Un grand film d’animation, porteur d’une belle réflexion sur le sens à donner à la vie et à la mort, au lien qui unit ce couple inséparable. Vouloir vivre, aimer la vie, implique d’accépter la mort, car au fond derrière la crainte de la mort se cache sûrement la peur d’affronter la vie, d’être le maître de sa vie. Un message qui nous pousse à réaliser l’équilibre à l’oeuvre en toute chose, équilibre qui fait la cohésion du monde mais qui peut vite se retrouver ébranlée du fait des hommes. Peut-être une mise en garde contre la science ?

Expo David Lynch – The Air is on Fire

Mardi 10 avril 2007

Expo David Lynch - The Air is on Fire dans ZOB (Ze Old Blog) David_Lynch_portrett

Sur les conseils d’un ami je suis allé samedi dernier à la Fondation Cartier voir une expo d’art contemporain sur David Lynch intitulée The Air is on Fire. Pour moi, David Lynch n’était qu’un réalisateur de films, à savoir le réalisateur de Dune et de Elephant Man, les deux seuls films que je connaisse de lui. Mais j’ai pu réaliser combien Lynch est ce qu’on peut appeler un artiste, un artiste au sens plein du terme. Un de ces artistes qui ne se contente pas de briller dans un seul domaine, mais fait montre de son talent dans beaucoup de disciplines artistiques. Il est vrai qu’il a suivi des études d’arts plastiques…

Expo David Lynch à la Fondation Cartier – The Air is on Fire

lynch-10 dans ZOB (Ze Old Blog)

L’art de Lynch surprend, son art dérange même. David Lynch, en nous livrant les instantanés de son inconscience hallucinatoire, offre au spectateur un sentiment de malaise et de déperdition. Son art est une invitation à plonger dans son imagination où se mêlent crainte et doute. Libre à nous de partager ou non sa vision du monde quelque peu obscure, mais toujours édifiante.

L’expo se déroule sur deux niveaux : au rez-de-chaussée sont abritées ses structures monumentales, des toiles dans lesquelles Lynch livre sa vision pessimiste et troublante d’un monde désincarné où les personnages affrontent des angoisses telle la solitude (« J’ai bien le droit de rêver non? », « Bob finds himself in a World for which he has no Undersatnding ») ou encore où l’homme se livre à des cruels instincts (« Do You Want to Know What I Really Think ? » - scène de viol).

La brutalité décrite dans ces scènes n’empêche pas Lynch de le faire non sans un certain humour. Mais l’humour n’est là que pour mieux nous faire admettre la finalité des oeuvres Lynchéennes : « l’être humain comme une créature engagée dans un conflit originel avec soi-même et avec le monde ». Une toile est d’ailleurs révélatrice de l’inspiration de Lynch, il s’agit de « The Man Was Shot 0,9502 Seconds Ago ». On peut voir donc l’assassinat d’un homme, les boyaux en dehors de la cage thoracique, et sortant du trou béant, une curieuse forme intitulée « Spirit ». C’est que, pour Lynch, si le combat livré entre ombre et lumière ne laisse aucun doute quant à la victoire de l’ombre, Lynch n’en oublie jamais pour autant de laisser un rire salvateur venir contrebalancer tout ça.

The Man was shot 0.9502 seconds ago

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Toujours à cet étage sont exposés les croquis de l’artiste, des croquis conservés depuis son adolescence et fournissant de précieux outils pour la généalogie créatrice de l’artiste.

Au sous-sol sont entreposées les photos de Lynch, notamment des photos réalisées avec trucage faites à partir de photos érotiques du début du 20ème siècle, les Distorted Nudes. Ces photos nous invitent à adopter un point de vue surréaliste des choses, à ne pas voir les choses telles qu’elles nous apparaissent mais selon une réalité qui pourrait nous être voilée derrière le masque des apparences.

Distorted Nudes

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Enfin dans le sous-sol sont également projetés les courts-métrages que David Lynch a réalisé, comme une suite de dessins animés loufoques Dumbland (2002), et des films réalisés dans les années 70, comme l’envoûtant et troublant The Grandmother. Un film de 16 minutes relatant l’histoire d’une famille peu ordinaire. Un enfant non voulu, de cruels parents vampiriques (au sens premier du terme), l’ enfant en mal d’affection qui trouve remède à son mal en faisant « germer » une grand-mère énigmatique, grand-mère qui dès lors lui vouera un amour réel. Un film sans dialogues, avec pour seul langage des cris peu humains. Un court métrage déroutant qui nous invite à plonger dans l’univers inquiétant de son auteur.

The Grandmother – 1970

lynch_grandmother

Une expo qui m’a marqué, une expo qui vaut le déplacement… pour peu que l’on apprécie l’étrange univers dans lequel nous invite David Lynch. Quelque part, peut-être n’en suis-je pas complètement revenu ? emoticone

David Lynch – The Air is on Fire
Exposition 3 mars – 27 mai 2007
Fondation Cartier pour l’art contemporain
261, boulevard Raspail 75014 Paris
tél 01 42 18 56 52
Droit d’entrée : 6,50 euros, tarif réduit : 4,50 euros.

Ajikan – Mugen Glider

Mercredi 4 avril 2007

Encore une chanson d’Asian Kung-fu Generation démente ! Il s’agit de Mugen Glider, de leur album 君繋ファイブエム (Kimi Tsunagi Five M), sorti en 2003. La chanson est accompagnée par des images de l’anime Death Note, adaptation du manga de Takeshi Obata et Tsugumi Ōba.

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Kotaenai ano hi no kokage
Mujou wo satotta yo, sukoshi
Saegiru koe
Tsumekonda nimotsu no sukima
KUSHAKUSHA ni natteta kokoro
Hirogete yomikaesu
Modoranai ano hi no kokage
Jibun ga wakatta yo, sukoshi
Saegiru koe
Tsumekonda nimotsu no sukima
KUSHAKUSHA ni natteta yume mo
Hirogete yomikaesu
Surai yo surai mou genjitsu to risou no sakaime de bokura no
Yume, kibou, sono tagui kudaketa maboroshi
Itai yo itai mou genjitsu wo uketometa ano hi no bokura no
Kokoro no katasumi Ukan da omokage
Togisunda kankaku
Kimi wo motto boku wo motto kanjite bokura wa tobu
Hirogeta ryouyoku
Kaze wo motto kibou motto
Wazuka ni habataku GLIDER
*Mugen?
Yurai da
Yuugen
Tsumari wa
*repeat
Surai yo surai mou genjitsu to risou no sakaime de bokura no
Yume, kibou, sono tagui kudaketa maboroshi
Itai yo itai mou genjitsu wo uketometa ano hi no bokura no
Kokoro no katasumi Ukan da omokage
Togisunda kankaku
Kimi wo motto boku wo motto kanjite bokura wa tobu
Hirogeta ryouyoku
Kaze wo motto kibou motto
Wazuka ni habataku GLIDER
*Mugen?
Yurai da
Yuugen
Tsumari wa
*repeat
Mugen
Yuugen
Mugen

Ajikan - Mugen Glider dans ZOB (Ze Old Blog) photo

Smallville season6 : The All-American Rejects (It Ends Tonight)/James Carrington (Ache)

Dimanche 1 avril 2007

Voici deux clips des chansons que l’on peut entendre dans l’épisode 3 de la saison 6 de Smallville, Paradis perdu.

Il s’agit de « It Ends Tonight » par All-American Rejects, et de « Ache » par James Carrington.

« It Ends Tonight » par All-American Rejects

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« Ache » par James Carrington

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Se sentant toujours coupable des dégâts qu’il a causé sous l’emprise de Zod, Lex organise une soirée de charité costumée pour la ville et engage le groupe All-American Rejects pour y jouer. Entretemps, Clark et Chloe poursuivent une créature qui utilise des cadavres humains comme fertilisant pour procréer. Mais la chasse s’accélère quand la créature capture Jimmy Olsen. De son côté, Lois accepte à contre coeur d’être la cavalière d’Oliver Queen au bal costumé de Lex.

Smallville season6 : The All-American Rejects (It Ends Tonight)/James Carrington (Ache) dans ZOB (Ze Old Blog) fragile001